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La Philosophie d'Alan Watts
20 janvier 2017

Alan Watts et le chômage, suite et fin

AVT_Alan-Watts_4312L'habituation de mes mains, la réorganisation de mes documents en fonction de ce nouvel ordinateur (mais en toute convivialité de son usage) étant suffisante, pour mon "travail", je puis mettre un terme à mon incursion en politique.

Mais, non sans préciser quelques points lexicographiques - si j'ose les présenter ainsi :

A un moment où il est question d'un retour du "rêve américain", on peut constater que le "rêve europeen" vire au cauchemar, sous les coups de butoir d'institutions au service des banques bien plus que des peuples de l'Europe. Or, personne ne va me croire, pas plus tard que cette nuit même, par hasard, sur le Net, j'ai pu parcourir un ensemble de textes laissant à croire qu'il y aurait encore des gens pour penser que l'argent pourrait avoir pour but d'améliorer le fonctionnement de la société tout entière, au lieu de servir la spéculation des banquiers et autres spéculateurs.

Améliorer le fonctionnement de la société et donc, peut-on supposer, supprimer ses tracasseries administratives, parfois ses empiétements sur la liberté de chacun au nom d’une « morale » unilatéralement économique.

En 1972, les Éditeurs présentaient ainsi Matière à réflexion :

« Nous disons notre civilisation " matérialiste " mais, en réalité, nous ne savons plus cultiver l'amour de ce qui est matériel, de la terre, de l'air et de l'eau, des montagnes et des forêts, de la bonne nourriture, de l'habitat et des vêtements pleins de fantaisie, des contacts tendres et érotiques entre les corps humains. Il faut donc tout reprendre à zéro ainsi que nous y invite dans ces pages le philosophe Alan Watts »

Le chapitre consacré à La richesse et l’argent, aujourd’hui sur le devant de la scène politique française, n’était pas mentionné.

 

Parmi quelques unes des notes prises :

Allocation universelle, philosophe Philippe Van Parijs (auteur notamment l’auteur de « L’Allocation universelle » (2005, avec Y. Vanderborght),

Pascal Riché, dans le Nouvel Obs du 19.01.2017, Wikipédia à l’entrée « Crédit social »

(Pascal Riché mentionne cette réalité bien concrète, rejetant du même coup, les pseudo considérations morales : « D’un point de vue éthique, il existe une justification simple au revenu universel. C’est un bien commun qu’on se répartit. Ce qu’on produit aujourd’hui n’est pas le résultat de notre seul travail, c’est aussi celui de l’électricité qui nous éclaire, du téléphone qui permet des échanges, du savoir-faire transmis par nos prédécesseurs, de la route qui permet de transporter les produits, etc. »

et un peu plus loin : « Une société dans laquelle on s’arrêterait plus facilement, un temps, de travailler pour peindre, écrire un livre, s’occuper d’une personne âgée, militer dans une association, se former… Est-ce une société d’oisiveté ? »),

 

Louis Even, au Canada, préconise aussi un Crédit Social,

 

En fait, venant d’horizons divers, des idées similaires…

 

En tout cas, l’idée mérite d’être examinée un peu plus… (en tenant compte d’une classe politique inutile, impuissante, qui tient à conserver ses privilèges et qu’il faudra bien drastiquement sélectionner un de ces jours...

 

Mais, je touche du bois, mon ordinateur fonctionne et je vais pouvoir laisser là mes petites incartades en politique, et reprendre mes petits travaux d’écriture...

 

 

 

 

 

 

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19 janvier 2017

Alan Watts et le chômage

Travail, chômage, loisir, liberté

Quelques notes en vrac, le temps que je prenne en main mon nouvel ordinateur pas cher (occasion reconditionnée) - tout en sachant, selon les normes françaises, que s'affirmer a-politique revient à se positionner à droite.

Le travail est la chose la plus haïssable qui puisse exister, s'il ne s'agit d'une parturiente, autrement dit s'il ne s'agit d'une création, d'un libre effort. (C'est ici que l'avortement peut trouver sa justification : un travail qui serait subi et non pas libre.) Convivialité (avant de se définir en vin de l'amitié, à la fin d'une réunion du parti - simple exemple), convivialité fut le mot choisi par Ivan Illich pour désigner le fait que l'être humain soit maître de son outil plutôt que son esclave. Le lien étroit entre ce "travail" convivial et la créativité, la liberté de s'exprimer dans ses actes, que ces derniers soient de passer le rabot pour un menuisier ou de peiner sur sa calculette pour un architecte.

Le chômage résulte, non d'un manque d'emplois, mais d'une suppression d'employés. Pour éviter le chômage, la toute première solution serait -c'est assez évident, me semble-t-il- de cesser de mettre les gens à la porte de leur emploi. Des raisons économiques, il doit bien y en avoir; pourquoi en faire des ennemis du genre humain, des parties adverses de raisons humaines (humanitaires, si on tient à seulement condescendre de juger l'autre un frère en humanité).

Si tel ou un tel n'a plus de quoi s'employer, quelle chance! Il a du loisir. Par exemple, pour apprendre à chanter. Ainsi, le chômeur pourrait chanter pour entraîner ses collègues à "travailler" dans une plus grande allégresse.

Fervent admirateur de Salvator Dali, je sur-réalise un brin, poh! à peine une brindille. Alan Watts, par boutade, mais pour bien souligner qu'il n'avait rien contre la technologie disait qu'il adorait se trouver en pleine nature, pour peu que ce soit à moins de trente minutes d'un aéroport...

Revenu universel ou Crédit social, l'employé perdant la raison d'être de son emploi en "raison" d'un progrès technologique devrait être payé très exactement au salaire du travail que le robot réalise à sa place.

Prière de relire Matières à réflexion, avant vote !

Par rapport à nos critères franco-français, Alan Watts est de droite puisque traditionaliste, mais un dangereux gauchiste puisque libertaire.

A suivre, mais juste le temps de prendre en main mon ordinateur. Je m'en veux énormément de me laisser émouvoir par ces personnages de si peu d'envergure.

PS - Je ne pense pas que Watts l'eut dit (du moins publiquement), mais je pense que le droit de fiche des baffes à nos hommes politiques devraient être inscrit dans la constitution. D'ailleurs, je suis pour le retour de la peine de mort, principalement pour les délits de forfaiture politique ou pour délit de confusion entre promesse politique et attrape-nigauds.

 

11 janvier 2017

Epreuve n 2

Je poursuis mon éprouvant apprentissage du tactile, sur écran et clavier de la taille de deux paquets de Gitanes ! Et, le moral au beau fixe, car je vais recevoir un nouvel ordinateur, portable, d'occasion reconditionne et pouvoir ainsi mener mon roman "initiatique" à son terme. (Initiatique, pour qui le voudra lire selon cette grille; sinon, dans le genre satirique, c'est assez fendant); et entreprendre ma Variation opus 1. (J'utilise une allusion musicale, sans être moi-même du tout musicien, un peu comme j'utilise avec plaisir des métaphores maritimes, en dépit de mon mal de mer habituel, ou qu'elle ait plusieurs fois tenté de me noyer... Ce qui n'est pas bien loin de la teneur de ce billet.

Poursuivons! Mon apprentissage et ce billet.

Bible. Très jeune, j'ai beaucoup admiré la figure d'un Jacob s'en allant exiger de Dieu sa bénédiction. Nul ne peut voir Dieu sans mourir, dit-on. Le combat de Jacob en représente le plus abouti démenti. Car, ne dit-on pas aussi que les portes du Ciel ne s'ouvrent qu'aux violents ? On le dit, et j'ose le répéter, tout en m'empressant d'ajouter que, pour ma part, je suis avant tout un fidèle abonné aux jérémiades. De nos jours comme en ceux de Jérémie, le pourrissement politique et social est si lamentable, il faut bien dire que ma référence (un peu simpliste) n'est pas infondée.

Parmi ces réminiscence de jeunesse, il se glissait Le Sage Ben Dira, dont j'avais essentiellement retenu que "Tel est habile à enseigner qui pour lui-même est bon à rien". 

Tout ceci donc, bien avant d'avoir lu ou entendu la moindre allusion à Alan Watts, la sémantique générale, ou les perfides allusions d'Aldous Huxley au sujet de ces choses -correctement formulees- qui deviennent fausses du simple fait d'être dites. 

Hum! Je suis loin d'avoir la maîtrise du tactile ; mais il semble que cet effort ait eu le mérite de clarifier mon projet sur deux trois points :

Ce blog continuera d'être réservé à watts; et Je ne manquerai pas d'y mentionner toute idée, information, réflexion à son sujet. Du moins, si elles se présentent à moi. (En continuant à les mentionner, même quand je ne suis pas d'accord.) Cela dit, ma recherche sur sa personne est terminée.

Variation commencera par des notes de récit sur ce qui m'a conduit vers lui. Parallèlement, sur ce qu'il y a à dire, et redire, en rapport avec ma prétention d'être une réincarnation d'Alan watts. 

A l'intérieur de ces deux grandes lignes, il sera plus facile d'aborder LE thème (essentiellement unique) de la Paix sur Terre et d'un œcuménisme supra religieux. 

Bien entendu, j'annoncerai ici mes premières pages. 

Je suis d'ailleurs à la recherche d'une formule vachement publicitaire. (Vachement au sens des amours vaches chez les voyous du milieu du siècle dernier... Les apaches de la barrière, avant qu'ils ne revêtent blouson noir et chaine de vélo.)

9 janvier 2017

Epreuve n1 de l annee 2017

Epreuve pour moi seulement, je l'espere !

Car j'écris sur une petite tablette de rien du tout, mon ordinateur étant en TRES grande panne ! 👎😿 !

Je comptais aborder le sujet d'Alan Watts comme philosophe en liberté, propulsant donc une philosophie de non dépendance externe (matérielle ou idéologique, par exemple) et interne (ne pas pouvoir résister à une envie addictive n'est pas faire preuve de liberté intérieure, quoique ce ne prouve pas son contraire non plus, si la lutte du "contre" en devient l'unique sens d'une existence), qui puisse devenir aussi une libération spirituelle, un élargissement de la conscience.

N'allons pas plus loin, ici, puisque ce que j'ai dit indique ma dépendance de l'usage d'un ordinateur. (Tout comme je ne cache pas ma révolte intérieure à l'endroit d'un destin qui m'a placé en état de précarité dégradant et qui est aussi une sévère entrave de ma liberté d'action - l'ensemble fort loin de la noblesse et, en fait, de liberté qu'elle peut amener de par ses vertus d'allégement. 

 

Bon! Cet apprentissage en accéléré du tactile m'a épuisé. A plus !

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