Alan Watts reçoit Madame Corona, 000, 8
(Ceci, indexé « 000 », présentant quelques notes propédeutiques jetées en vrac au fil du clavier)
Mon premier billet de cette relance de mon blog sera mis en ligne le jour anniversaire, ou peu après, de la naissance d’Alan Wilson Watts, le 6 Janvier 1915.
A mon idée, en tant que « blogueur », se voulant écrivain et philosophe free-lance, à moins que ce ne soit in partibus, c’est une aventure psycho-littéraire qui devrait durer quatre années, soit jusqu’en Janvier 2025. Un minimum pour passer un message situé à la frontière du langage et du silence.
Chaque billet comportera trois approches centrales, qui s’emboîteraient les unes dans les autres telles des casseroles ou des poupées russes, si l’importance, et le nombre de lignes, n’étaient très variables.
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A relativement court terme, mettons au cours du printemps prochain 2021, je tenterai un moyen ou un autre d’inter-activité. Non pas pour le plaisir de débats ou de disputes philosophiques intéressantes, mais parce que le temps passant je me suis habitué à des formulations assez désuètes (médiévalesi). Que l’on m’interroge ou que l’on m’interpelle sur tel ou tel point me permettra de préciser ou de rafraîchir ma manière de voir. La plupart du temps, ce sera facile et réellement comme un rafraîchissement psychologique. Mais, pas toujours, car il y a un véritable problème : l’idée, le concept, l’application concrète de Tradition ou de Philosophia Perennis ou d’ésotérisme, comme disait Watts, c’est tout un « bazar ».
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Une grande casserole, cercle extérieur => compilation de faits biographiques sur Alan Watts, sa vie, son œuvre > ce sera la seule partie véritablement fiable pour qui voudrait utiliser les indications, faits et dates fournies à ses propres fins d’étude ou autre. Dans cette approche, le moins qu’on puisse dire est qu’elle sera libre de tout droit d’auteur.
Une moyenne casserole, cercle intérieur => ce qui dans la vie d’Alan Watts évoque (par association d’idées au sens psychanalytique usuel & comme une résonance intérieur ou, contradictoirement, par déduction logique) ma propre vie… en dépit des apparences. Car, à première vue, lui et moi, nous ne nous ressemblons en rien, rien du tout.
Une minuscule casserole, cercle central => La Tradition primordiale, métaphysique unique, pour faire court « traditionactualiste » de la philosophie perennis.
Pour illustrer cette bizarrererie linguistique, une incongruité par définition, pérenne = « de toujours », un élément intrinsèquement constitutif de la vie humaine. Or, voici qu’au début du XXI° siècle, un gène a disparu à tout jamais de notre planète…
Je n’en sais guère plus, et veuillez avoir la gentillesse de poursuivre votre visite…. Je reviendrai sur ce sujet dans deux ou trois ans seulement. Si j’ose y revenir ! Mes connaissances en ce domaine sont nulles. Zéro ! La seule chose que je crois avoir compris est qu’en principe, ce qui se perd ici se retrouve ailleurs. Ça fonctionnait comme ça depuis quinze milles ans, et en quinze milles ans, rien n’a jamais disparu vraiment… tout au plus « ça » peut se transformer…
Quel que soit le fin mot de l’affaire, c’est le mythe qui s’y rattache tout logiquement qui m’intéresse : notre planète est mortelle, tout comme les humains & parasites qui y prospèrent.
J’aimerais bien savoir l’avis de Madame Corona…
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Les queue, manchon, poignée de casseroles seront forcément présents dans mes billets => faut bien un accrochage au mur => le mur de la réalité conventionnelle (maya)ii.
i Ou plus loin encore, la Tradition pérenne affirmant que l’Esprit est comme inscrit dans nos gènes. En psychologie, certains affirment en parallèle que le « refoulement spirituel » cause autant de dégats que le « refoulement sexuel ».
ii Alan Watts disait que s’éveiller consiste à sortir des illusions de la réalité conventionnelle.